Après l'interminable serie de diagnostics alarmistes pronostiquant la disparition prochaine du Parc National de la Bénoué, le service de la conservation de cette importante, réaffirme sa détermination le faire redevenir un réfuge biologoque sûr pour la splendide faune du grand Nord Cameroun
Cette ambition s'est jusqu'ici déclinée par permanence de la présence des patrouilles d'écogardes sur le terrain, la structuration de la recherche, la rélance de la cogestion
Un des résultats les plus visibles étant sans nul doute l'éradication de la plupart des sites d'orpaillage qui pillulaient dans le noyau dur de conservation en 2014. En effet, sous la forte pression imposé par les écogardes du service de la conservation du PNB dès 2014.
Malheureusement, tel un serpent de mers, l'on observe une résurgence de nouveaux sites d'orpaillage dans les zones de chasse de la périphérie du Parc. D'où l'appel constant pour une plus grande synergie d'intervention et un mutalisation des moyens de lutte contre ce phénomène.
Mais la seule réponse sécuritaire ne pouvant venir à bout du phénomène d'envahissement qui menace directement la survie des aires protégées à cout terme, après les expériences réussie en 2016, la RESTAURATION DES HABITATS DE LA FAUNE PASSERA PLUS QUE JAMAIS PAR LA PROMOTION DES PEPINIERES LOCALES,
LE RENFORCEMENT DE LA COGESTION ET DES ESPACES DE DIALOGUE AVEC LES VILLAGEOIS PAR LA MULTIPLICATION DES ASSOCIATIONS/COMITE DE VIGILANCE DANS TOUTE LA PERIPHERIE DU PARC
LE DEVELOPPEMENT DES VERGERS A PARTIR DES PLANTS FRUITIERS ISSUS DES PEPINIERES MISES EN PLACE EN 2016
En espérant le retour désormais annoncé des partenaires à la conservation et au développement,
Les jeunes et les femmes sont plus que jamais mis à contribution pour mettre sur pied de solides fondations
Les chefs de villages et les notables apportent également leur contribution à cette nouvelle frontière
La mise en place des nouvelles associations villageoises de développement qui jouent également le rôle de comités de vigilance represente l'un des pilliers de cette nouvelle approche .
L'ambition à terme est de developper des plantations et vergers individuels qui pourront alors fournir suffisamment et durablement du bois et du charbon de bois charbon écologiques
Cette ambition s'est jusqu'ici déclinée par permanence de la présence des patrouilles d'écogardes sur le terrain, la structuration de la recherche, la rélance de la cogestion
Un des résultats les plus visibles étant sans nul doute l'éradication de la plupart des sites d'orpaillage qui pillulaient dans le noyau dur de conservation en 2014. En effet, sous la forte pression imposé par les écogardes du service de la conservation du PNB dès 2014.
2014, Interpellation de transhumants au site "Douala",village d'orpaillage abritant des milliers d'orpailleurs éradiqué en 2015 |
Malheureusement, tel un serpent de mers, l'on observe une résurgence de nouveaux sites d'orpaillage dans les zones de chasse de la périphérie du Parc. D'où l'appel constant pour une plus grande synergie d'intervention et un mutalisation des moyens de lutte contre ce phénomène.
Un site d'orpaillage actif dans une zone de chasse périphérique du PNB |
Mais la seule réponse sécuritaire ne pouvant venir à bout du phénomène d'envahissement qui menace directement la survie des aires protégées à cout terme, après les expériences réussie en 2016, la RESTAURATION DES HABITATS DE LA FAUNE PASSERA PLUS QUE JAMAIS PAR LA PROMOTION DES PEPINIERES LOCALES,
LA MULTIPLICATION DES PEPINIERES DANS LES ECOLES PILOTES ET DE NOUVEAUX VILLAGES
L'AGRANDISSEMENT ET LA SYSTEMATISATION DES PEPINIERES DANS TOUTES LES BASES-VIE DU SERVICE DE LA CONSERVATION
LE RENFORCEMENT DE LA COGESTION ET DES ESPACES DE DIALOGUE AVEC LES VILLAGEOIS PAR LA MULTIPLICATION DES ASSOCIATIONS/COMITE DE VIGILANCE DANS TOUTE LA PERIPHERIE DU PARC
LE DEVELOPPEMENT DES VERGERS A PARTIR DES PLANTS FRUITIERS ISSUS DES PEPINIERES MISES EN PLACE EN 2016
Des anacardiers issus de la pépinière villageoise de Guidjiba |
En espérant le retour désormais annoncé des partenaires à la conservation et au développement,
Plus que jamais, la contribution de toutes les bonnes volontés institutionnelles et non-institutionnelles sont souhaitées pour redonner les couleurs aux aires protégées meurtries par de longues années de coupe accélérée des arbres pour le bois de feu et le charbon de bois.
Les jeunes et les femmes sont plus que jamais mis à contribution pour mettre sur pied de solides fondations
Participation des femmes dans le developpementdes vergers dans les villages |
Les chefs de villages et les notables apportent également leur contribution à cette nouvelle frontière
La mise en place des nouvelles associations villageoises de développement qui jouent également le rôle de comités de vigilance represente l'un des pilliers de cette nouvelle approche .
L'ambition à terme est de developper des plantations et vergers individuels qui pourront alors fournir suffisamment et durablement du bois et du charbon de bois charbon écologiques
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