samedi 7 janvier 2017

LE PARC NATIONAL DE LA BENOUE A BESOIN DE SES VRAIS AMIS POUR SE REMETTRE DANS LE SENS DE LA MARCHE

Avec le retour des éléphants dans le Parc en 2016 après plus d'une décennie d'absence, le Parc National de la Bénoué ressent déjà les premiers effets des efforts consentis par les écogardes au prix de leur sang pour déguerpir disperser les nombreux braconniers, les centaines de bergers transhumants et les milliers d'orpailleurs qui improvisaient des villages dans le Parc, 





Cet embellie ne devrait pas occulter le contexte  de plus en plus problématique dans lequel se déroule la conservation des zones périphériques du Parc National de la Bénoué en général et la conservation des ZICs 1 et 4 à cogestion  en  particulier. Les aires protégées qui sont depuis une décennie déboisées pour le bois de chauffe; le Charbon de bois;


sont entrain de devenir progressivement les plus grosses zones de production de Soja et de Mais  qui alimentent les industries agro-alimentaires  dans les régions méridionales du Cameroun par l'entremise des élites locales talies dans l'ombre




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